« M »
de l’intérieur,
Quand le poignard nous fit,
par cet acte tenter
de nous détruire..
Il crie ci fort « c’est ton heure »
Mais ne voit-il pas qu’encore je vis ?
Quand il nous induit,
Quand il vit,
Quand il vient par ses leurres,
que l’on croyait bonheur,
Quand le poignard nous dit,
oui je peux,
je vais faire de ta vie,
ma cible,
Te poignarder, te trancher,
Te tuer…
Quand le poignard se coince
dans ce cœur qui se meurt,
détruit par ce poignard de crevard,
Crevard de la lumière,
et quel poignard ?
celui de l’intérieur
Ce poignard,
Cette dague,
Cette lame,
Ce Coutille,
qui me bousille,
car Kandjar,
il a allumé ses phares,
pour être sur de voir,
où mettre le poignard…
Sacré BALLOT,
il pensait,
que je ne verrais pas ce fardeau,
d’envie, d’ennui, de mépris,
Mais je suis encore en vie,
PETIT POIGNARD,
tu es petit,
mais ma pensée est infini,
tue moi,
mais elle restera en vie….
Tu veux nous diviser tu me dis,
d’accord petit CIE,
je vais te débiter,
t’étonner,
te fendre,
car mon indignation,
tu ne pourras prendre,
désolation et non violation,
la nature est déjà en répartition,
ton poignard ne peut l’affecter,
simplement l’alarmer,
de ton » toi » de meurtrier
MCS